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«Valentino Rossi, un esprit libre»

20 Mars 2016 , Rédigé par steff- fan de Valentino Rossi Publié dans #Sport moto

Valentino Rossi
Valentino Rossi

Il y a vingt ans, Carlo Pernat faisait signer son premier contrat en Grand Prix à un jeune ado de dix-sept ans, Valentino Rossi, au caractère déjà affirmé. Il raconte les débuts en compétition et dans le paddock du nonuple champion du monde.

À soixante-sept ans, Carlo Pernat est un personnage incontournable du Continental Circus. Ce truculent Génois est considéré comme une des mémoires officielles du paddock. En travaillant chez Piaggio, Cagiva, Aprilia et Ducati, il a côtoyé et managé de nombreux champions comme Biaggi, Capirossi et un certain Valentino Rossi. Voilà vingt ans, il permettait à ce jeune Italien de dix-sept ans de disputer son premier Grand Prix, en 125 en Malaisie. Pernat se souvient de ce phénomène, déjà.

«Quel est votre tout premier souvenir de Rossi ?

Lors d’une course du Championnat d’Europe 125 en 1995. On m’a présenté ce grand gamin décontracté. Il m’a répondu ‘’comment ça va, Carlo ?’’, comme s’il me connaissait depuis toujours. On voyait tout de suite qu’il avait le don de se mettre les autres dans la poche.

Racontez-nous ce premier contrat que vous lui faites signer en 1996 chez Aprilia, dont vous êtes le manager sportif ?

Son père, Graziano (pilote de Grand Prix 250 et 500 à la fin des années 1970), un ami, me parlait tout le temps de son fils. Et c’est donc en 1995, dans le Championnat d’Europe 125 que je l’ai vu à l’œuvre pour la première fois. Je me souviens notamment d’une course à Misano. Il me faisait penser à Schwantz (l’Américain avait été champion

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